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Channel: femme – les AZA subversifs
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Jacqueline Sauvage, victime d’être la main armée de « la Justice » ! Signez la pétition !

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Et ce titre n’est pas anodin ! Car ne faut-il point de signes avant-coureurs d’un drame qui se déroule et qui ne finira que mal, tant que la justice et ses fonctionnaires ne réagissent pas en laissant la victime aux mains de son bourreau ?!

Je ne puis qu’être révoltée devant cette décision de la « Justice » qui a ignoré – sciemment ou non – les appels au secours d’une femme en détresse.

Même si des femmes juges siègent en compagnie d’autres juges masculins et ce, devant leur grand bureau en évoquant leur fameuse « solidarité féminine », il n’y a pas plus peau de vache qu’une femme représentant la « Justice étatique ». J’en veux pour preuve leurs questions qui montrent qu’une juge aussi, fonctionne selon des préjugés machistes.

– Pourquoi ne pas partir de la maison ?

– Pourquoi avoir encore « accepter » des rapports sexuels ?

– Pourquoi ne pas avoir porter plainte plus tôt ?

– Pourquoi etc.

Ce à quoi la victime doit répondre de ses actes qui prouveraient que le statut qu’elle avait au sein du foyer n’était que désiré et que le rôle de masochiste était de nature perverse !

En effet, pourquoi ne pas quitter son logis pour aller faire la fée sous les ponts ?!

Pourquoi subir un viol tant que l’on puisse le supporter et que les médecins trouvent normal de trouver du liquide séminal sur une vieille peau de 40 piges, d’autant que cette dernière devrait être encore contente qu’un homme s’intéresse à elle ?!

Pourquoi appeler les flics plusieurs fois afin que ceux-ci nous dictent les lois en vigueur à savoir qu’on ne peut pas jeter le mec hors de chez soi avant de lui avoir signé son préavis de 10 jours et encore… que ledit préavis doit être accepté par le juge de Paix du district ?!

Et oui, car ledit triste Sire – le bourreau – mis en faute peut encore faire opposition contre l’avis de la marâtre qui lui cherche des poux dans la tête alors que tout va bien à la maison !

Pourquoi les mains-courantes des interventions policières n’apparaissent-elles pas au cours du procès ?!

Pire encore ! Pourquoi le bourreau a-t-il tant de témoins alors que la victime en a aucun ?!

Bref ! Comme on peut le comprendre aisément, seul 8 % des femmes décident encore de porter plainte, bien que leur avocat leur déconseille. En effet, qu’est-ce qui peut être plus douloureux que les maltraitances sinon la condamnation d’un jury dans lequel les partis sont déjà pris, les dés déjà pipés ?!

C’est aussi pourquoi, bien qu’ayant à peine effleuré le sujet, il arrive parfois que des drames familiaux arrivent, ceci parce que les instances judiciaires qui représentent la « Justice » n’ont fait que snobé une femme qui ne soit plus une femme-enfant !

Si la victime n’est pas la main armée de la justice, la « Justice », elle, devient alors complice. Étant dans cette posture ma foi, fort inconfortable, elle – la « Justice » donc – ne peut alors que condamner Jacqueline Sauvage afin de se désolidariser encore et toujours, de la survivante victime en donnant raison au défunt bourreau !

Il faut dès lors pousser cette « Justice » à se responsabiliser la moindre en signant la pétition et pour cela, il suffit de cliquer sur ce lien : Pour la libération immédiate de Jacqueline Sauvage !

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